Le dernier numéro de la revue Bifrost est consacré à une autrice, Nancy Kress, dont je n’ai lu qu’une nouvelle. Il faut dire que ce n’est pas une autrice très populaire, mais ce numéro coïncide avec la sortie d’un recueil, Danses Aériennes, au Bélial, l’éditeur de la revue.
Le numéro 88 de la revue Bifrost est consacré à un auteur que j’ai peu lu, l’australien Greg Egan, pape de la hard science, branche de la SF que j’affectionne peu. Aura-t-il réussi à faire tomber mes réticences ?
J’ai peu lu Richard Matheson mais j’ai le souvenir d’avoir été marqué il y bien longtemps par La Maison des Damnés (à une époque où je lisais pas mal de littérature de fantastique et d’horreur, ce qui m’a passé depuis), et j’ai quand même un recueil de lui dans ma PAL…
Thierry Di Rollo est un auteur que je ne connais pas (je n’ai lu qu’une nouvelle de lui), ce numéro de la revue Bifrost est donc l’occasion d’en savoir plus.
Le dernier numéro de la revue Bifrost s’intéresse à l’un des principaux fondateurs de la fantasy, Robert E. Howard, le créateur de Conan, Kull, Solomon Kane et pas mal d’autres.
Le numéro 83 de la revue Bifrost est consacré à un auteur, Laurent Kloetzer, que j’ai appris à apprécier, que ce soit en duo avec son épouse (CLEER, Anamnèse de Lady Star) ou en solo (Vostok).
J’ai encore peu lu Neil Gaiman, outre American Gods il y a pas mal d’années, L’Océan au Bout du Chemin et Neverwhereplus récemment. Le dernier numéro de Bifrost est donc l’occasion d’en apprendre plus sur ce touche-à-tout éclectique.
Pour fêter ses 20 ans, la revue Bifrost a eu la bonne idée de publier un hors-série consacré à la bande dessinée de science-fiction. Pour l’obtenir, il fallait être abonné (ce qui m’a incité à le faire car je n’achetai pas tous les numéros jusqu’à présent, honte à moi), on peut aussi acheter deux numéros en librairie et recevoir ce H.S. en cadeau. Sympa, non ? N’étant pas très connaisseur en B.D. de S.F. (hors comics de super-héros qui y sont fort justement rattachés), c’est l’occasion d’élargir mon horizon (et d’allonger ma wish-list, damned).
J’ai beaucoup lu Stephen King, dès les années 80 quand il a commencé à être célèbre en France et j’ai deux cartons pleins de ses livres au garage. Puis je m’en suis lassé, et surtout j’ai été agacé par sa tendance fréquente à écrire de longs textes. Souvent trop longs. Aussi depuis quelques années n’ai-je suivi que de loin sa carrière et ses publications. Le numéro 80 de Bifrost est l’occasion de revenir sur son oeuvre, de me replonger dans mes souvenirs de lecture, et de profiter d’un guide de lecture actuel.